Sympathie pour le diable

Sarajevo, novembre 92, sept mois après le début du siège, Paul Marchand, correspondant de guerre, tente de témoigner d’une guerre fratricide, du quotidien des 400 000 habitants pris en otages par les troupes serbes sous le regard impassible de la communauté internationale. Provocant il inscrit sur sa voiture les fameux « Morituri te salutant» et « Don’t waste your bullets I’m immortal ». Entre l’objectivité journalistique, le sentiment d’être inutile et un certain sens du devoir, face à l’horreur et à l’injustice de ces victimes innocentes, Paul Marchand prendra parti.

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